Selon les médias japonais, Nissan pourrait supprimer 10 000 emplois supplémentaires dans le monde. Après une première annonce de réduction de 9 000 postes en novembre 2024, la main-d'œuvre du constructeur nippon reculerait de 15 %.
Le constructeur japonais déploie le dispositif des certificats d’économies d’énergie (CEE) dans son réseau. Les clients particuliers comme professionnels de Nissan pourront donc bénéficier d’une remise immédiate sur l’ensemble de sa gamme de véhicules électriques.
Au lieu des 493 millions d'euros attendus jusqu'ici, le constructeur japonais estime maintenant à 4,6 milliards d’euros sa perte nette pour l’exercice 2024-2025 clôturé fin mars. Les coûts de son plan de redressement et les dépréciations d'actifs ont été plus élevés que prévu.
Le constructeur nippon entame une stratégie de reconquête du marché chinois. Nissan compte investir 1,2 milliard d’euros et annonce l’arrivée dans le pays de dix nouveaux modèles d’ici l'été 2027 contre huit initialement prévus.
Pour les marques asiatiques, les résultats ont été très contrastés en 2024. Parmi les généralistes, Toyota présente l'une des meilleures rentabilités, Suzuki est également au-dessus de 1 %. En revanche, cela a été plus compliqué pour les réseaux Nissan et Mazda. Chez les coréens, Hyundai maintient la tête hors de l'eau, contrairement à Kia. Quant à MG, l'année n'a pas été flamboyante.
Nissan annonce le départ de Jean-Dominique Senard et Pierre Fleuriot de son conseil d'administration. Ils sont remplacés par deux spécialistes des fusions/acquisitions, Valérie Landon et Timothy Ryan. Un changement de stratégie qui marque l'urgence d'un plan de redressement du constructeur japonais. Celui-ci ne peut passer que par une fusion.
À l'issue d'un appel d'offres au long cours, Nissan renouvelle son partenariat financier avec Mobilize Financial Services sur plusieurs marchés européens dont la France. Ce nouvel accord prolonge de trois ans les liens entre le réseau et la captive de Renault.
Après les annonces de Donald Trump sur les droits de douane, Nissan va modifier ses plans pour accroître la production de ses deux usines américaines. Un ajustement impératif pour le nippon dont 30 % de ses ventes se font aux États-Unis. Le constructeur a par ailleurs stoppé les commandes de deux modèles produits au Mexique.
L'Alliance évolue de nouveau afin de permettre à Nissan de retrouver des marges de manœuvre. En plus d'être libéré de toute obligation d'investissement dans Ampere, le nippon sort de la structure commune en Inde que Renault reprend à 100 %. Toutefois, après la Micra sur la base de la R5, Nissan a confirmé un modèle qui reposera sur la future Twingo.
Nissan annonce trois modèles électriques pour le marché européen, à cheval sur 2025 et 2026. La Micra, basée sur la même plateforme que la Renault 5, ouvrira le bal. Viendront ensuite la nouvelle la Leaf puis la troisième génération du Juke.
Outre-Manche, un projet vise à préparer les routes de campagne et résidentielles anglaises à la conduite automatisée. Baptisé evolvAD, il doit permettre à Nissan, pilote de l’initiative, de poser les jalons d'un service de mobilité autonome destiné à des territoires ruraux d'Europe d'ici 2030.
Face à une crise sans précédent, le constructeur japonais se trouve à un tournant décisif de son histoire. Chute de ses ventes, surcapacité industrielle et manque d’innovation technologique, les défis d'Ivan Espinosa, nouveau PDG de Nissan, sont nombreux. Le groupe automobile joue désormais sa survie.
En grande difficulté financière, le constructeur japonais change de PDG. Ivan Espinosa, ex-directeur de la planification, devient PDG. Makoto Uchida quitte le groupe.
Le constructeur nippon fait le point sur ses projets de voitures autonomes à travers le monde. Nissan compte donner naissance à un service de mobilité de ce type au Japon en 2027. Il participe aussi activement à préparer le Royaume-Uni à la conduite automatisée.
Le nom de Jérémie Papin, actuel directeur financier, circule pour remplacer Makoto Uchida à la tête de Nissan à titre intérimaire. Ce remaniement pourrait survenir dès la mi-mars 2025.
Selon le Financial Times, Tesla travaille sur un plan de sauvetage de Nissan, avec l'aide de l'ancien Premier ministre du Japon. Cette annonce a fait bondir le titre du constructeur nippon de plus de 11 % à la Bourse de Tokyo.
Honda se dit prêt à rouvrir les discussions en vue d'une fusion à condition que Makoto Uchida quitte la direction de Nissan, rapporte le Financial Times. De son côté, Renault milite également pour le départ du PDG du constructeur japonais.
Devenu la proie de fonds activistes et de groupes asiatiques hostiles, Nissan traverse une situation financière hautement critique. Après l'échec de la fusion avec Honda, le constructeur japonais pourrait retrouver des vertus à son alliance avec Renault avec lequel les synergies sont massives. Le français, lui, a déjà commencé à regarder ailleurs.
Les deux constructeurs automobiles japonais ont confirmé les rumeurs de presse sur l’abandon du projet de fusion. Honda a souhaité changer la configuration de l'alliance. Une proposition qui a été rejetée par Nissan.
D'après des rumeurs de presse, les deux constructeurs automobiles japonais seraient sur le point de rompre leur promesse de fusion. Celle-ci, annoncée en décembre dernier, devait aboutir à un accord définitif en juin. Mais des divergences sur les modalités de l'opération auraient conduit à la fin des négociations.
Les groupes automobiles français et chinois seraient sur le point de signer un nouveau partenariat en Amérique latine, d'après Les Échos. En se rapprochant encore une fois de Geely, Renault s'éloigne un peu plus de Nissan. Le marché craint que le constructeur français finisse dans les filets du géant chinois qui rêve de s'imposer sur le marché européen.
Les deux groupes automobiles japonais officialisent l'ouverture des discussions en vue d'une fusion. Mitsubishi doit prendre une décision avant fin janvier 2025. La nouvelle entité représenterait le troisième constructeur mondial.
Le plus grand électronicien du monde négocierait avec Renault pour racheter sa participation dans Nissan. Foxconn souhaite diversifier ses activités dans l'automobile, un secteur clé pour l'avenir de l'électronique. Mais Nissan, qui projette désormais de fusionner avec Honda, a repoussé les avances du taïwanais.
Le groupe automobile français, qui reste le premier actionnaire de Nissan, a donné son accord pour que les discussions de fusion se poursuivent avec Honda. Renault cherche à revaloriser sa participation minée par les mauvais résultats de son allié japonais. Le français cherchera toutefois à préserver ses intérêts.
Le constructeur automobile français profite de l'annonce de la fusion entre les deux géants japonais. Renault possède encore 22 % du capital de Nissan. Mais cette union pourrait accélérer l'éloignement des deux alliés.
Quelques mois après un premier rapprochement, les deux groupes automobiles japonais projettent désormais de fusionner, d'après la presse nippone. Honda, Nissan et Mitsubishi (contrôlé par Nissan) formeraient ainsi le premier groupe automobile du monde.
En proie à d’importantes difficultés, Nissan revoit son organisation avec la nomination d’une nouvelle équipe de direction au sein de laquelle Guillaume Cartier, Christian Meunier et Jérémie Papin jouent un rôle clé. Une seconde vague de mouvements est prévue pour avril 2025.
Après avoir acquis trois concessions Kia début 2024 en Belgique, le groupe Maurin accueille dans son giron les concessions Toyota et Nissan d'Anvers, la deuxième ville du pays. Ce rachat lui permet d'intégrer le réseau belge de la marque aux ellipses.
Le Parquet national financier (PNF) requiert un procès pour corruption et trafic d’influence à l'encontre de Carlos Ghosn et de Rachida Dati. L’actuelle ministre de la Culture aurait touché 900 000 euros pour des prestations de conseil auprès d'une filiale de Renault-Nissan qu'elle n'aurait pas honorées. Elle est également soupçonnée d'avoir obtenu des décisions favorables à Renault dans le cadre de son mandat européen.
L’arrivée du fonds d’investissement activiste singapourien, Effissino Capital Management, au capital de Nissan a permis de doper l’action du constructeur de près de 20 % à la Bourse de Tokyo. Cette annonce intervient au moment où le constructeur nippon rencontre de graves difficultés.
Désormais disponible avec une motorisation 100 % électrique, la nouvelle génération de l’Interstar aspire à de grandes ambitions. Et pour cause, le grand fourgon de Nissan, clone du Renault Master, jouit des mêmes prestations que son jumeau français. Le tout à des tarifs très agressifs.
Le constructeur automobile japonais annonce la suppression de 9 000 postes dans ses effectifs. Après des résultats catastrophiques au deuxième trimestre 2024, Nissan lance un plan choc qui prévoit une baisse de 20 % de ses capacités de production dans le monde.
Ampere et Nissan annoncent un nouveau développement commun. Il s'agit d'une petite voiture électrique de segment A, sur la nouvelle plateforme qui servira de base architecturale à la future Twingo.
Les deux constructeurs automobiles poursuivent leur processus de rééquilibrage de leurs participations croisées conformément au nouveau traité de l'Alliance. Avec cette cession, Renault récupère près de 500 millions d'euros de trésorerie, et espère ainsi améliorer son profil financier sur les marchés.
Après Tesla, c'est au tour de Nissan de proposer également une offre de crédit à taux zéro pour cette rentrée 2024. L'argument du prêt gratuit revient donc dans les offres du financement. La hausse du taux d'usure et la baisse de celui de financement ouvrent une nouvelle fenêtre dans les promotions.
En poste depuis six ans chez le constructeur japonais, Xaver Benz devient directeur financier pour les marchés du nord et de l'ouest de l'Europe. Il intègre également le comité de direction de Nissan en lieu et place de Marco Villa, qui grimpe dans la hiérarchie.
En injectant 2,2 milliards d'euros dans la production nationale de batteries, le Japon aspire à augmenter ses capacités pour atteindre les 120 GW. Un soutien qui cible notamment des projets de Toyota, Nissan et Panasonic.
Le constructeur japonais Mitsubishi souhaiterait rejoindre l’alliance entre Honda et Nissan. Ce partenariat stratégique, qui a vu le jour en mars dernier, vise à produire des composants pour les véhicules électriques et des plateformes logicielles. Il s'agit de riposter contre la déferlante chinoise.
Le bilan du premier trimestre de Nissan n'est pas bon avec un résultat net en forte baisse et une marge opérationnelle qui perd 4,4 points. Le constructeur nippon, en difficulté aux États-Unis et en Chine, ajuste d'ailleurs ses objectifs annuels.
Le constructeur japonais offre à sa troisième génération du Qashqai une mise à jour. Sous le capot, la technologie e-Power et son agrément sont toujours au rendez-vous. Nissan veut redevenir leader sur le segment des C-SUV.